Le rythme et la convivialité ne quittent pas Farah danse depuis 17 ans !
Depuis 17 ans, l'association Farah Danse répand son dynamisme et sa bonne humeur au rythme de ses pas de danse empruntés au Modern Jazz ou encore à la Zumba. Sandra Priem, présidente, animatrice et ses complices, exercent et enseignent avec rigueur et passion !
Il n'est pas rare de croiser les membres de l'association Farah Danse à l'occasion d'une fête estivale ou durant Octobre Rose, période pendant laquelle elles sont très actives contre le cancer du sein ou encore sur le marché dominical. En effet, lorsqu'il s'agit d'apporter de l'énergie à un événement associatif ou encore organisé par la municipalité, Farah Danse est souvent volontaire et présente. Avec la crise liée à la Covid-19, la plupart des associations sportives ont connu une baisse de fréquentation ainsi qu'une perte d'adhérents. Nous avons rencontré Sandra Priem et Élodie Deschamps, toutes deux enseignantes, afin qu'elles nous présentent leur association. L'occasion de faire un point sur leurs projets et leurs motivations après ces deux années périlleuses.
Bonjour, pouvez-vous vous présenter et nous expliquer votre parcours ? Sandra : Bonjour, je suis Sandra Priem, 44 ans coach sportif, gérante d'une société de bien-être et également maman de 3 enfants. Je possède un parcours en BTS assistante de direction (que j'ai exercé pendant plus de 20 ans), et une licence professionnelle dans les métiers de la forme, de la santé et du bien-être. J'ai ouvert une salle de remise en forme durant 3 ans, et aujourd'hui, je dirige un centre de spa. J'ai créé l'association Farah Danse il y a 17 ans, en 2005. Je suis présidente et animatrice dans l'association.
Élodie : Bonjour, Élodie Deschamps, j'ai 40 ans, j'exerce la profession d'infirmière. Comme Sandra, je pratique la danse depuis l'enfance. Plus particulièrement le Modern Jazz ou la danse contemporaine. J'ai marqué une pause pour finir mes études et me consacrer à mon rôle de maman puis, j'ai repris lorsque ma fille a commencé la danse, il y a treize ans. Je suis alors devenue présidente d'une association de Danse sur Violaines. J'encadrais plus particulièrement les adolescents. Après avoir rencontré Sandra qui cherchait une prof, j'ai été séduite par son sérieux et sa grande motivation.
Comment définiriez-vous Farah Danse et combien d'enseignantes êtes-vous dans l'association ?
Sandra : Nous sommes une association qui accueille les enfants dès 5 ans et jusqu'à 99 ans. Du niveau débutant aux plus confirmés afin d'accueillir tout le monde en Modern jazz et en Zumba. C'est une association très familiale. Nous accueillons très sympathiquement toutes les nouvelles adhésions. Bien plus que de la danse, c'est une échappatoire à notre vie et stress quotidien. C'est ce qui fait notre force, les adhérent(e)s viennent pour ce que je leur apporte, mais ils m'apportent bien plus en retour. Notre noyau est dans le groupe Modern jazz adulte avec des adhérentes qui sont là quasiment depuis le début, elles sont devenues bien plus que des adhérentes. Nous sommes toutes amies, nous avons traversé ensemble de très grosses difficultés personnelles pour plusieurs d'entre nous. Des cancers féminins, mais aussi la perte d'enfant. C'est une association très familiale et nous savons accueillir sympathiquement toutes les nouvelles adhésions.
Élodie : Nous sommes quatre enseignantes, je m'occupe des préados ados, Céline et Alexia des plus petits et Sandra des adultes et enfants en Zumba.
Quelle est l'origine du nom Farah Danse ?
Sandra : Je cherchais comment nommer l'association en y mettant mes influences. Celles-ci sont essentiellement américaines. J'ai d'ailleurs passé la plupart de mes diplômes et certifications aux États-Unis. Ma fille s'appelle Farah et lorsqu'elle avait un an, elle s'est mise à danser devant moi. Face à cette émotion de jeune maman, je n'ai pas pu résister à appeler l'association Farah Danse. Par contre, je tiens à lever le doute aujourd'hui : DANSE se prononce "à la Française" et non pas à l'Américaine comme je l'entends la plupart du temps !
Comment se porte l'association aujourd'hui ? Sandra : Nous devions fêter nos 15 ans avec un beau spectacle en juin 2020. Il alliait la danse, le chant, les vidéoprojections et même le théâtre. La Covid-19 a anéanti toutes nos perspectives durant deux années !
Nous étions pourtant prêts. 2021 n'a été guère plus faste, car nous n'avons pas pu danser, y compris jusqu'en janvier 2022. Consciencieuse et rigoureuse, je ne souhaitais plus présenter aux familles un spectacle affecté par le manque de répétitions. Ainsi, j'ai donc décidé de ne pas présenter ce gala. Ce n'est que partie remise. Pourquoi pas pour nos 20 ans. On y mettra toute notre énergie et nous présenterons un show digne et intense. Élodie : Malheureusement, depuis cette crise sanitaire, le nombre d'adhérents qui frôlait les 300 en 2019-2020, a nettement baissé. Nous ne sommes plus qu'une centaine dorénavant. Toutefois, nous espérons que les amateurs de danse reviennent à leurs habitudes d'avant crise. Nous lançons forcément un appel : n'hésitez pas à pousser la porte de nos locaux pour découvrir l'univers rythmé de Farah Danse. Nous avons de super locaux salle Léo Lagrange, 4, rue Jean Zay. Ils sont adaptés à la pratique de ces disciplines.
Nous sommes joignables au 06 20 74 71 35 ou sur la page Facebook de l'association Farah Danse. Les inscriptions ont lieu le samedi 10 septembre de 10h à 12h à la salle Léo Lagrange et nous reprenons les cours le 17 septembre.
Les pré-inscriptions sont déjà possibles par téléphone au 06 20 74 71 35.
